New York, Stockholm, Montréal, Helsinki, San Francisco, Wellington… le 15 mars 2019, ils étaient près de 1.4 million d’étudiants dans plus de 2000 villes du globe pour tracer l’avenir et corriger les traces des erreurs passées. Aujourd’hui, de plus en plus de jeunes veulent faire leur part dans ce mouvement révolutionnaire, (les grèves de la jeunesse pour le climat, mieux connues en anglais sous le nom de School strikes for climate), quoique critiqué par les personnes influentes de notre monde.

Suite à un été de canicules et de feux de forêt, la Suède se prépare pour ses élections législatives. Le 20 août 2018, une jeune étudiante suédoise, Greta Thunberg, décide de ne pas aller en classe avant cette journée d’élections, soit le 9 septembre 2018. D’ici là, elle va tous les jours devant le parlement suédois avec sa pancarte sur laquelle se lit ce slogan que nous connaissons tous aujourd’hui, soit celui mentionné à la fin du premier paragraphe ci-haut.

 

La jeune militante continue de faire des grèves, et ce à tous les vendredis jusqu’à ce que le Parlement suédois décide de prendre les décisions nécessaires subséquentes à l’Accord de Paris. C’est comme cela que naît le populaire slogan Fridays For Future, peu de temps après.

Inspirés par Thunberg, des grèves commencent à être organisées partout à travers le monde à partir de novembre 2018, malgré les dires de certaines personnes influentes rétorquant qu’il est plus important d’aller à l’école que d’aller manifester.

 

 

 

Puis, le 15 mars 2019, plusieurs records sont atteints: plus d’un million de personnes se mobilisent dans plus de 2200 événements organisés dans plus de 125 pays à travers le monde! Les statistiques ont d’ailleurs démontré que, ce jour-là, c’est à Montréal qu’il y a eu le plus grand nombre de jeunes manifestants parmi toutes les autres villes du monde, soit plus de 125 000 étudiants dans la métropole!

 

Il est très inspirant de constater les efforts et actions entreprises par les autres nations du globe, mais… qu’en est-il du Québec? Plusieurs collectifs ont été créés dans la province afin de contrer, comme de plus en plus de personnes sur Terre, les changements climatiques et tout ce qu’ils peuvent engendrer selon les divers scientifiques, climatologues et autres experts du sujet. Entre autres, un homme, du nom de Dominic Vézina, est très impliqué dans la lutte aux changements climatiques et aide énormément différentes institutions de la province à créer une différence dans leur milieu. Voici ici un article du Journal étudiant des secondaires du Québec Nouvelle Génération pour plus d’information sur ce militant écologiste aux idées intéressantes et innovantes (en plus d’avoir travaillé pendant près de vingt-cinq ans dans le domaine de l’éducation!):  https://manouvellegeneration.org/ensemble-pour-lenvironnement-le-pacte-de-lecole-quebecoise-avec-dominic-vezina/

 

Le 27 septembre dernier a eu lieu lieu une manifestation historique qui, comme celle du 15 mars dernier, risque d’avoir beaucoup d’impact pour l’avenir de notre planète. D’ailleurs, c’est grâce au record d’étudiants battu à Montréal que le Québec a reçu Greta Thunberg en personne, pour manifester dans la métropole aux côtés de nombreux autres individus déterminés et persévérants qui, comme elle, ont ces convictions inébranlables qui les amènent à poursuivre ce combat mené par des millions de personnes à l’heure actuelle.

Alors, que ferez-vous pour sauver Mère Nature?

Intrigué(e)? Voici quelques liens qui pourraient répondre à vos questions et assouvir votre curiosité:

Les différents collectifs créés par monsieur Dominic Vézina (La Planète s’invite…)

Pour suivre Greta Thunberg et en apprendre plus sur son incroyable défi:

Quelques articles de journaux numériques:

Envie d’en apprendre plus sur les changements climatiques en général? Les liens ci-dessous pourraient vous être utiles!

Sources:

Cet article est la gracieuseté du Journal Étudiant L’EXCEPTION, du Collège Saint-Paul. Tous droits réservés. Merci beaucoup!