Les lectures… des mesdames de la bibliothèque

Madame Martine m’a appris qu’il y a quelques années, toute la communauté de l’ÉÉIL s’arrachait les quinze romans de cette série du centre de ressources.

Cette collection était assez populaire. Les lecteurs sont plongés dans un univers fantastique dans lequel on suit les aventures d’adolescents qui désirent pratiquer la magye. Madame Martine m’a raconté que ce sont des livres qui se lisent rapidement.

L’histoire est vraiment captivante, on ne voit pas le temps se défiler durant notre lecture. J’ai personnellement lu le premier tome de Sorcière, Le livre des ombres, et j’ai tellement eu envie de découvrir les événements qui s’y déroulaient que je l’ai lu en une journée. On s’attache aux personnages de l’histoire et à la fin de ma lecture, j’ai eu envie de lire les suivants pour savoir ce qui advenait au personnage principal, Morgan.

Pour madame Marise, ce livre est le meilleur qu’ait écrit Stephen King.

Grande fan de ses livres, elle a extrêmement adoré ce roman fantastique.

L’intrigue se concentre sur un gardien de prison et un mystérieux homme accusé des meurtres de deux fillettes.

Selon madame Marise, impossible d’expliquer pourquoi ce livre est tellement bon, on ne pourrait lui rendre justice.

Pour comprendre le génie littéraire derrière, il vaut mieux lire les six feuilletons séparés que l’intégrale, selon madame Marise.

Plus jeune, madame Martine a trouvé la lecture de ce classique de Victor Hugo vraiment pertinente et enrichissante.

Ce roman sociologique et psychologique l’a marquée surtout à cause de ce qu’elle y a appris.

De sa plume, l’auteur veut démontrer l’importance capitale de l’éducation et de son utilité dans la vie future des gens.

Selon madame Martine, être plus instruit permet de ne pas se faire jouer des tours dans le futur.

Pour elle, il est beaucoup plus dur de se faire berner lorsqu’on a acquis un vaste bagage de connaissances et des habiletés à réfléchir et à remettre en question, buts premiers de l’école.

Madame Marise a mentionné un goût pour des pièces de théâtre écrites par des dramaturges québécois tels que Marcel Dubé et Gratien Gélinas. Ce dernier a, entre autres, écrit la populaire pièce Tit-Coq, dans laquelle on suit Tit-Coq, un homme qui s’enrôle dans l’armée.

Dans cette pièce, on évoque le cadre socioculturel de l’époque, soit durant la Seconde Guerre mondiale.

Madame Marise apprécie justement ce genre de pièce au penchant davantage historique et qui évoque des personnalités d’une société précise, dans ce cas-ci la société québécoise.

Écrit par Ken Follett, ce roman historique a été conseillé à madame Martine par un ancien enseignant de l’école.

Il présente différentes classes sociales anglaises de l’époque.

Cette intrigue basée sur la construction d’une cathédrale au Moyen Âge a captivé madame Martine.

Elle avait apporté ce livre en voyage, et dès les premières pages, elle l’a adoré.

Cette lecture l’intéressait tellement qu’elle n’a pratiquement fait autre chose  que lire durant son voyage, prouvant l’habileté du roman à attirer par le biais de son intrigue et de ses personnages les lecteurs.